En préambule, et pour ceux qui n’auraient pas suivi
l’ancien blog, je dois vous dire que nous avons à mon travail
une cage pleine d’oiseaux dont un canari, qui pousse
des cris assourdissants toute la sainte journée
(ou maudite journée plus exactement)…
l’ancien blog, je dois vous dire que nous avons à mon travail
une cage pleine d’oiseaux dont un canari, qui pousse
des cris assourdissants toute la sainte journée
(ou maudite journée plus exactement)…
Bin ouais je me suis donc découvert un super pouvoir…
Ça va bien m’aider parce que, bon, force est de constater
que je ne suis pas toujours entendue quand je parle,
(il a fallut looongtemps pour que le problème se règle)
alors si rien qu’avec la force de la pensée je peux
me faire entendre, c’est quand même trop génial.
que je ne suis pas toujours entendue quand je parle,
(il a fallut looongtemps pour que le problème se règle)
alors si rien qu’avec la force de la pensée je peux
me faire entendre, c’est quand même trop génial.
Bon et puisque l’histoire de Titi est réglée, je vais désormais
m’attaquer à la guerre dans le monde, en commençant par Sarko
pour qu’il ne soit plus copain avec les marchands d’armes !
m’attaquer à la guerre dans le monde, en commençant par Sarko
pour qu’il ne soit plus copain avec les marchands d’armes !
Mouahahahahhhh !! Je vais être le nouveau Gandhi !!
Articles
La force de ta pensée a quand même mis ÉNORMÉMENT de temps avant de se mettre bien en place... lol
RépondreSupprimerMais le principal, c'est qu'elle ne soit pas aller acheter une cage plus grande pour en mettre 2 ou 3 de plus lol
Jusque là je ne pensais pas aller en parler à son supérieur ;o) Fais pas le septique, je le sais, j'ai un super pouvoir !
RépondreSupprimerNous avons déjà une très grande cage, et si ça se trouve si on avait eu d'autres canaris Titi aurait fermé sa gueule, c'est la solitude qui le travaillait (enfin les hormones pour être plus exact) du moins je pense... Un gros frustré en somme qui s'évertuait à rendre la vie difficile à ceux qui pouvaient trouver chaussure à leur pied vu qu'ils étaient libre ! Rabat-joie !